L’ours qui avala une mouche (2020)
Réalisation : Pascale Hecquet

Un ours dort tranquillement dans la forêt quand il avale une mouche. Celle-ci bourdonne dans son ventre. C’est insupportable ! Sur les conseils d’un écureuil, il avale une grenouille… qui coasse ; puis une couleuvre… qui chatouille ; une aigrette… qui picote… Jusqu’où devra-t-il aller pour arrêter ce supplice ?
L’Ours ne pense pas par lui même, ses amis l’entrainent dans une succession de mets avant une délivrance qui règle le sort de l’ennemi commun
Le génie de la boîte de raviolis (2005)
Réalisation : Claude Barras

Comme tous les soirs en rentrant du travail, Armand, ouvrier à la chaîne d’une usine de pâtes alimentaires, s’ouvre une boîte de raviolis en guise de dîner. Mais ce soir, un énorme génie surgit de la boîte. Il propose à Armand d’exaucer deux de ses vœux.
Deux modèles de société sont ici évoqués : la vie trépidante, anonyme et individualisée de la ville avec celui du bonheur d’exister et …de partager un repas.
La soupe au caillou (2015)
Réalisation : Clémentine Robach

Il est vingt heures, tout le village écoute d’une oreille attentive — et le ventre un peu vide — la recette du jour à la télévision : celle de la soupe au caillou, lorsqu’un orage provoque une coupure de courant générale…
La faim est au centre du film mais aussi la peur de l’autre. L’apport de chacun à l’élaboration de la soupe commune va permettre un réel échange et va installer une convivialité manifeste qui fait basculer le récit vers une autre réalité sociale.
Much ado about mutton (1947)
Réalisation : Izzy Sparber

Nos petits moutons sont de vrais mélomanes et le loup l’a bien compris. Il va tenter de les amadouer en musique pour mieux les manger. C’était sans compter sur le mouton noir…
Le loup a faim et reste un prédateur mais le mouton noir sort de son rôle de victime pour devenir protecteur.